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Celui qui sillonne les routes aux côtés de musiciens tels que Lou Reed, Bruce Springsteen ou encore Bob Dylan depuis ses débuts dans les cafés concerts de Manhattan dans les années 60, n'a pas fini de transcender les genres. On retrouve dans ce projet l'esprit qui a caractérisé l'ensemble de sa carrière. Jonglant entre le blues, la pop, la soul ou encore le reggae, il fait passer à travers ses textes bruts une émotion immédiate et littérale. Cet album compte des collaborations avec Brian Mitchell et Ben Stivers, ainsi qu'un duo avec sa fille Savannah et une participation de la virtuose du violon, Laurie Anderson.

En 2017, Alice Cooper, roi incontesté du shock rock, faisait son grand retour avec Paranormal, son premier album en 6 ans, acclamé par la presse et plébiscité par les fans. Enregistré le 7 décembre 2017 dans la mythique salle de L'Olympia, A paranormal evening with Alice Cooper at the Olympia Paris emmène les auditeurs dans un voyage à travers les ténèbres... Le groupe interpréte les hits Poison, School's out ou No more Mr. Guy mais également des titres plus récents tel que Paranoic personality, extrait de Paranormal. Mixé par Bob Ezrin (Pink Floyd, Deep Purple), ce concert démontre de manière éclatante pourquoi Alice Cooper est considéré depuis plus de 40 ans comme un des plus grands entertainers de la scène rock.

Après un dernier opus en 1996, Spiritchaser, le groupe britannico-australien se sépare et Brendan Perry se consacre à sa carrière solo tandis que Lisa Gerrard contribuera à un grand nombre de bandes originales de films tels que Heat de Michael Mann et Gladiator de Ridley Scott. Les retrouvailles se feront en 2005 pour une tournée mondiale qui assoit le succès et l'influence du groupe. Conscient de l'alchimie musicale qui entoure leurs titres, ils décident de retourner en studio et composent ce premier album en 16 ans.

Toujours respecté pour ses qualités de conteur, cela fait longtemps qu'il sait captiver un public. Mais c'est avec cet album qu'il réussit à signer une véritable percée. Sur le label Loma Vista (Spoon, St. Vincent, Health), le disque poduit par Tony Berg trouve un équilibre parfait où Bird se renouvelle en profondeur sans refuser à l'auditeur le plaisir de retrouver un style inimitable. C'est son album le plus direct et personnel à ce jour, avec des contributions clé des plumes de Fiona Apple et Blake Mills.

Onze ans après le refrain entêtant de Down on my knees, Ayo n'a rien oublié de son flow incomparable. La reine de la folk douce et cosy revient avec un album chargé d'émotion à fleur de peau.

Les "saigneurs" du métal sont de retour ! Vingt-deuxième album du groupe légendaire anglais : composé aux studios NRG et enregistré dans la foulée en février 2015, avec une approche plus directe et plus live que les précédents. Aux manettes : l'inamovible Cameron Webb. Parmi les douze titres, on annonce un Chocking on your screams malsain, un Electricity bien punk, un vociférant Shoot out all of your lights, mais aussi une surprenante ballade introspective, Until the end. A noter que sur The Devil, le guitariste de Queen, Brian May, vient faire briller son solo au milieu d'un déluge de décibels et que le dernier titre (13ème titre bonus) n'est autre qu'une reprise du plus diabolique morceau des Stones, Sympathy for the devil.

Stephen Stills, c'est bien cette légende vivante de la musique américaine qui débuta dans les 60s avec Buffalo Springfield avant d'écrire quelques unes des plus belles pages de l'histoire du rock avec Crosby, Stills & Nash au cours des décennies suivantes. On le retrouve aujourd'hui épaulé par le guitariste chanteur Kenny Wayne Shepherd et par le fameux clavier de la scène blues de Chicago Barry Goldberg pour reprendre avec brio, à leur sauce, des classiques de Muddy Waters Elmore James, Neil Young ou encore Iggy Pop & The Stooges. Le choix des titres s'est fait naturellement sur la base de morceaux organiques qui ne sonnent pas du tout datés mais terriblement modernes et musclés !

Ce quintet britannique clairement influencé, à l'instar de leurs amis de The Horrors, par la noisy pop et plus largement par le son shoegaze des années 90s, suit d'ores et déjà la voie royale du succès dans son pays natal car adoubé par toute la presse.

Après 5 albums à officier en tant que leader charismatique du groupe de rock indé Chokebore, il nous livre aujourd'hui son 6eme opus en solo. Dès les premières notes on reconnaît entre mille le style unique et la voix de TvB. Ecrit, composé et produit en totale autonomie dans son propre studio en Creuse, alternant entre des enregistrements sur bande ou bien digitaux, ce disque se révèle être un voyage de 13 titres à travers un univers profond, aux accents tantôt minimalistes, tantôt progressifs, mais toujours superbement poétiques.

The Black Keys reviennent avec un 10e album studio. Retour aux sources du blues le long des rives du Mississipi pour le duo auréolé de 6 Grammys. Composé de 11 titres, il puise dans l'héritage blues laissé par John Lee Hooker, Junior Kimbrough et propose un hommage appuyé à travers 11 titres à ces artistes qui ont fait l'histoire de ce genre musical et qui ont accompagné Dan Auerbach et Patrick Carney depuis leurs débuts.

Septième album studio du groupe britannique à l'atmosphère sombre et dont le thème général se trouve dans le titre. Matthew Bellamy s'explique : "Pour moi, les drones sont des psychopathes métaphoriques qui permettent des comportements déviants sans recours possible. Le monde est dominé par des drones utilisant d'autres drones pour faire de nous des drones. L'album suit le parcours des hommes, de leur abandon et perte d'espoir, leur endoctrinement par le système pour devenir des drones humains, jusqu'à leur défection finale".

Pour fêter les dix ans de la sortie de son premier album le groupe décidé de se lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie. Une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe...

Après plus d'une décennie d'existence, quatre albums acclamés par la critique et des prestations scèniques mémorables, Foals - à présent à quatre - atteint de nouveaux sommets et embrasse toujours cet amour de l'anticonformisme avec le projet le plus courageux et le plus ambitieux de leur carrière : pas un, mais deux nouveaux albums : deux opus, distincts mais liés, qui partagent un même titre, plusieurs thèmes et le même artwork (Part 1 en mars 2019, suivie de Part 2 à l'automne 2019). Profondément liées mais possédant leur propre personnalité, les deux oeuvres renferment les créations les plus fascinantes, ambitieuses et cohérentes que Foals ait jamais produites, des chansons imprégnées des névroses du monde provoquées par le climat culturel et général actuel. Alors que les voies de plus en plus imprévisibles du monde sont potentiellement à craindre, la volonté constante de Foals de se réinventer est à célébrer.

Deuxième album solo de Doug Tuttle, ex-MMOSS : un voyage pop psychédélique plus rêveur que son prédécesseur, dans la lignée de Kurt Vile ou de Solar Motel Band.

Troisième album du groupe de Montréal, qui comme les deux précédents, a été enregistré avec leur ami et réalisateur, Emmanuel Ethier.

14 albums en 7 années (dont 5 en 2017 seulement), tête d'affiche de nombreux festivals, internationalement encensés par la critique, il est désormais indiscutable que les King Gizzard & The Lizard Wizard sont sûrement un des groupes de rock actuel les plus importants, par leur créativité et leur productivité. Ce n'est plus un simple groupe mais un culte vivant.

L'album de Grandaddy (premier depuis 2006) est à la fois humain, ironique, poignant, fantastique et magnifique, soit tout ce qui a fait le succès du groupe. C'est un tourbillon symphonique de lo-fi soniques et d'harmonies planantes, l'alliance parfaite entre des sonorités électroniques et des puissantes guitares pop. La voix du leader Jason Lytle plus intime que jamais, donne grâce et légèreté aux histoires apocalyptiques qui ont fait leur succès.

Le guitariste et chanteur du groupe légendaire Fleetwood Mac est de retour avec son huitième album solo. Entièrement écrit, produit et enregistré dans son studio chez lui à Los Angeles, cet opus met à l'honneur le style inimitable du guitariste avec des mélodies remarquables, inspirées par la folk des années 60, mais aussi par la pop.